Ses premiers pas professionnels la mènent d’abord vers le journalisme, comme photoreporter pour l’AFP et des agences comme Sygma. Aux Etats-Unis, à Los Angeles où elle s’envole ensuite, Mathilde de L’Ecotais va suivre les gangs de la ville. Changement de décor ensuite, puisque ce sera Hollywood et ses plateaux de cinéma. La parenthèse américaine refermée, la revoici en France où le destin lui fait rencontrer Alain Ducasse : Mathilde de l’Ecotais publie deux ouvrages avec le chef français. Artiste plasticienne, l’ancienne dérocheuse à l’école fonde en 2018 l’école Media Social Factory qui forme, en 11 semaines, les jeunes qui n’ont pas trouvé à l’école l’épanouissement nécessaire. Une initiative qui la fait vibrer, elle qui reconnaît avoir appris la langue française dès qu’elle « s’est mis à l’image ».