Airbus n’est pas encore débarrassé du titane russe
Dans la course à l’indépendance stratégique, il faudra encore plusieurs mois à Airbus avant de pouvoir se passer du titane russe. Si ce métal indispensable à l’aéronautique moderne n’est pas concerné par les sanctions occidentales, l’avionneur européen veut limiter les risques au plus vite.