Renseignement aérien : comment l’armée française peut-elle surmonter un trou capacitaire crucial ?
L’armée de l’air a décidé de retirer du service ses deux Transall C-160 Gabriel, dédiés au renseignement d’origine électromagnétique. Et en même temps le programme Archange, qui doit remplacer cette capacité, a déjà du retard et devrait arriver au mieux en 2026. En attendant, l’armée de l’air va compenser ce retrait avec les pod ASTAC installé sur les avions de combat, les drones Reaper et les satellites CERES. Elle souhaite aussi disposer d’une capacité intérimaire avec un avion de type Saab 340.